décroissant1
Visage d'ange et un corps de vénus
Le meilleur antidépresseur connu
Que ce soit sur terre ou dans le ciel
Toutes lumières mènent à elle
Chaque seconde est bien trop courte
Quand ensemble, on rêve de yourte
et de voyage lointain
sur les traces des romains
Je suis reconnaissant
Elle est enrichissante
La haine te noie
Dès que tu la bois
l'amour libère
des peur primaire
Et ses hanches
Quand on danse
M'enchante
Merveille
Je
Rêve
Mauvaise nuit
C'est qu'en t'évitant que je grandirai
Avec toi, je me sens un homme fort
Tu parles, ma raison est engourdi
Si j'écoute, je détruis mes efforts
Au fond de mon cœur, reste y enfoui
Loin du bruit, près de la douceur du calme
Je me sens bien, isoler des étoiles
Libre de choisir, libre d'être libre
Aucun objet ne me retient ici
Q'aucune colère ne m'asservisse
Virus d'amour
Cette maladie pleine de vie qui nous vide
Nous fait peur et engrène des espoirs perdus
Chaque matin, je lui prenais sa main, divine
Par ses yeux clairs, magnifiques par sa vertu
Ce virus qui nous a toujours eus, homme et femme
Toi et moi lui servons de nouvelle recrus
Nos langues sont un pont entre deux points de vue
Pour que nos arbres ne tombent pas dans les flammes
L'épidémie de l'année, c'est le mal de vivre
Heureusement que les nuages se déplacent
Puisse les masques enfin tomber et qu'on s'enlace
Que nos visages de bonheur redevienne ivre
L'affection que tu as provoquée en moi
Ne guérira pas sans ta présence et ta voix
La plante qui soigne, se protège elle-même
Qui éperdument aime, aura le cœur qui saigne
solitude
Aux premières heures, elle est docile
Elle se faufile dans tous les cœurs
Quand viennent les pleurs des filles nubiles
quitte la ville, fuyant le malheur
Remède facile contre la peur
Parfois, c'est la seule solution
Sortir du bois aux mil illusions
Où le moi cherche la réflexion
Le pois des erreurs en gestation
Voyez vos propres contradictions
La maison verte
Une maison fleurie sans toit ni mur
Une porte qui mène au calme pure
On ne peut y rester que pour dormir
Ensuite, il faut repartir, c'est le pire
Aucun rêve ne m'atteins quand j'y suis
Je ne peux voir que ce que je fuis
La facilité rend faible et détruit
Seul l'amour sauve de cette infamie
Toi qui se caches dans cette forêt
Fais moi oublié que j'y suis entré
Journée de merde
Vous pouvez toujours couper ma corde en deux
Elle sera plus solide avec un nœud
Un pour tous ? N'est-ce pas plutôt tous contre un ?
C'est difficile d'être contre chacun
Courage ! N'écoute pas ton égo
Cette voix qui t'emmène vers la solitude
Essaie encore de dépasser ce défaut
Jusqu'à atteindre la mansuétude
Derrière chaque erreur le hasard souris
Et dans mon cœur, une fleur d'amour grandit
Les visages disparaissent de ma mémoire
Et dans mes yeux, je ne vois plus qu'un miroir
Poème personnel pour moi (mais enfaite c'était pour une fille)
Si vivre est un dialogue avec l'univers
L'amitié est une discussion à deux
Haïr met nos cœurs et nos âmes à l'envers
Seulement les pleurs n'ont jamais éteint les feux
Le pardon seul remède contre les rancœurs
Beaucoup veulent nous éloigner du vrai chemin
Celui qui mène au moi, celui que mène au bien
Je déposerais sous tes pieds des milliers de fleurs
le monde tourne toujours dans le même sens
Mais pour grandir, il faut changer de vision
Parfois aller contre ce que les autres pense
Changer est pour la raison la seul mission
On ne peut entendre son cœur que dans le calme
Je veux que nos peurs disparaissent dans les flammes
Et qu'on puisse se rappeler de notre vie
Comme plein de moments d'une joie infinie